Rencontre inantendue au Port [PV Peter Pevensie]

Cela faisait maintenant quelques temps qu'on avait attrapé Ella Mars, une de nos plus grandes ennemies. Elle faisait partie des rebelles, et je menait moi-même son interrogatoire, sans succès. Certes elle m'avait dit des choses intéressantes sur elle mais rien sur son chef, rien sur ses futures actions, rien de vraiment utile pour que je puisse défendre mon pays devant les attques répétées de divers peuples. Cette fille, je la comprenait de moins en moins, il fallait que je me change les idées. je sortis de ma chambre après avoir enfilé une armure légère et pris mon épée. Je descendis à toute allure les marche de mon Chateau, à la recherche du nain Trompillon. je le trouvai enfin en dehors du Chateau, seul. je m'approchai de lui et lui annonçai que je partais pour le port de Telmar, seul, et que je reviendrais dans quelques jours. Il insista pour me donner une escorte ce que je refusai fermement. Je voulais être seul, discret, ce qui, avec une escorte m'était impossible. Seul, je pourrais voyager plus vite et bien plus dixcrètement. Certes le peuple connaissait mon visage mais il ne s'attendait pas à me voir voyager seul, ce qui me permettrait de passer relativement incognito.

Après avoir convaincu le nain, je pris mon cheval et partis au grand galop à travers les compagnes environnantes. le voyage jusqu'au port se fit assez rapidement. Dès que je fus arrivé, je confiai mon cheval à un ami de confiance, qui vivait à l'entrée du port et qui savait que lorsque je venais seul, devait s'occuper de mon cheval, ce qu'il faisait avec beaucoup de respect. Cet homme était un telmarin certes, mais il m'était fidèle et aimait Narnia, sa faune et sa flore. Sans cheval, j'éatis beaucoup plus libre de me déplacer discrètement. Pour plus de précaution, je rabattis tout de même mon capuchon sur ma tête. Cale ne paraitrait pas bizarre, vu le temps humide du jour. Ainsi caché, je me baladai de-ci, de-là dans le port avant de me diriger vers un tarverne, où, en commandant à boire, je me renseignai sur les arrivages prévu des bateaux. Ainsi j'appris très rapidement qu'un navire était annoncé en provenance des îles Solitaires. le tavernier me dit également qu'il vait appris par un des marins, qu'un inconnu était à bord. Un inconnu ne faisant pas partie de l'équipage. Cela m'intrigua bien plus qu'autre chose, et je lui demandai donc s'il savait quand le bateau allait accoster. il me lança un regard étrange, me damandant pourquoi je voulais cette information. Je restai un instant silencieux avant de simplement lui répondre que j'étais curieux et que j'avais rarement vu des bateaux, des vrais bateaux, ce qui était assez convaincant, sachant que les Telmarins n'étaient pas des marins, et que c'est moi qui avait remis les bateau à l'honneur, comme à l'ancien temps de Narnia. il me sourit, sembla accepter mon explication et me dit sur le ton de la confidence que le bateau arriverai dans un peu plus de trois heures, ce qui me laissait le temps de ma balader et de, comme il disait, découvrir le monde magique qu'est un port. je le remerciai et fis comme il m'avait dit, me baladant, glanant des informations de-ci, de-là mais sans jamais savoir qui était ce mystérieux passager.

C'est ainsi que trois heures plus tard, j'attendais imatiemment que le bateau qui venait d'entrer au port accoste. je le parcourait des yeux, cherchant l'homme mystérieux mais sans succès.

Sur le beauteau, tout le monde me trouvait étange, mais tout le monde me respectait, car après tout, même si aucun ne m'avait jamais vu de leur vie, j'était officielement l'emptreur des Iles Solitaire, revenu après plus de 1300 ans à la gâce d'Aslan pour aider Narnia sur les trouble dont il avait entendut parler. Néamoins beaucoup semblais avour du mal à comprendre beaucoup de chose. Ma jeunesse avait une espliquation. Cela fesait de moi quelqu'un de vigoureux. Mais il était juste, comme ils le penssait, qu'on pouvait être vigoureux en étant un peut plus âgé. Ce qu'il n'arrivait vraiment pas à l'espliquer s'était le fait que je voix Narnia comme si mes yeux était eux même magique. Après avoir été sertain de ne plus revenir ici, je me surprenait parfois à me comporter comme Lucy l'avait fait les premier jours dans ce monde. Comme un enfant découvrait que les rêve pouvait être vrai. Pourtant, Narnia, bien qu'elle en avait l'image n'était pas un rêve. Tout les bataille, les guerres que j'avais mener, ne sortait pas de l'imagination féérique d'un enfants, même d'un garçons. Narnia était bien réèle. Mais avec une façon de vivre différente. Des mentalitée différente. Esque la Terre aurais ressembler à Narnia si les hommes s'était plus attacher à la nature qu'a la technologie?, surment. Et il y avait ausi le fait de croire en la magie. Bien que d'après les critères humain je n'avait plus l'êge de croire en la magie, il était inconsevable de l'ouvblier après avoir véccu toute une vie ici. Après avoir vu Aslan en personne. Non, même à 77 ans, si j'y arrivait, je croirait encore et toujours à la magie, peut importe que je vive dans un monde qui n'y croix plus.

Quand une voix un peut loingtaine mais proche cria "terre en vu", je quitta mes rêvaserie pour monter au cordage et regarder la terre en question. Un matelot m'espliqua tout. C'était le port de Telmar. Je commença à poser des questions sérieuse, comme ce qu'il fallait faire pour trouver un cheval et me rendre au chateau de Caspian. Je vis certain étonner de me voir passer du passager rêveur qui saute à l'eau pour aller nager avec les sirènes, à celui qui parlait de choses sérieuse. J'obtenu rappidement toute les information et attendit que le bateau acoste. Je n'avait même pas de bagade. Je n'avait même pas d'épée. Je réalisa soudain à quel point il avait été surprenant que l'équipage ne me face pas prisonier ou autre chose. Je me mit donc sur mes garde. Attandant que j'ai les deux pieds sur les terre de Caspian. là où j'aivait une sorte d'hymunitée diplomatique. Après tout, s'était grace à ma famille que Caspian était sur le trône. Il pourrait au moins me sortire des griffe de pirate si cela arrivait à ce point. Heureusement ce ne fut pas le cas. Nous avons tranquillement acoster. Je remercia le capitaine et, au lieux de passe par la passerelle comme tout le monde, je me permis su dernière follie avant d'apprendre pouquoi d'était revenu, en utilisant le cordage pour déssendre du bateau. Me jettant hors du navir en espérant ne pas ratter l'attérisage. étant donner la pratique que je manquait pour ce genre d'acrobatie. Fort heureusment, je ne me pris aucune honte. et mes botte claquère en choeur sur le bois du ponton.

Tout les visages m'étaient inconnu, mais un capuchon attira mon attention. Après quelque instant de recherche intence, une ampoule aurait put s'éclairer au dessus de ma tête. J'avais beaucoup pensser à lui durant le voyage. Et même si il avait pris cinq ans, alors que moi je n'en avait pris que deux, je le reconnu assurément et m'évança vers lui un large sourire au lèvres.

"Je ne m'attendais pas à un commité d'acceille!. Bien que mon arriver sur les Ile-Solitaire ce soit fait au millieu de personnes que j'ais du convaincre que j'étais quelqu'un qui n'était pas venu depuis très très longtemps."

Je lui sera d'abord la mains avec toute somplicité, puis ce geste devin une acolade entre amis.

après quelques minutes qui me parure longues, si longues, le navire accosta enfin. je le scrutai mais une fois encore je ne pus voir ce mystérieux inconnu. mais soudain, je vis un homme, un jeune homme qui ne m'étais pas inconnu, descendre du bateau d'une manière bien improbable. Au lieu de se servir de la passerelle comme tout un chacun, il se jetta quasiment dans le vide, accaché à un cordage. Je souris et secouai la tête. Il n'avait pas changé. je me demandais encore si je devais le rejoindre lorsque je vis qu'il s'avançait vers moi. Il m'avait parfaitement reconnu lui aussi. Et il souriait. Il devait être heureux de trouver ici un visage connu. Lorsqu'il fut à quelques pas de moi, il ouvrit enfin la bouche.

"Je ne m'attendais pas à un commité d'acceille!. Bien que mon arriver sur les Ile-Solitaire ce soit fait au millieu de personnes que j'ais du convaincre que j'étais quelqu'un qui n'était pas venu depuis très très longtemps."

Nous nous serrâmes la main mais bientôt il s'avanca et nous nous fîmes une accolade. J'étais heureux qu'il soit là et cela semblait être réciproque. Après quelques instant, je le repoussait et sans enlever mon capuchon, je dis:

- Peter! Je suis heureux de voir que le mystérieux inconnu en provenance des îles soit toi. Beaucoup de choses ont changé depuis la dernière fois...

je l'entrainai ensuite par le bras vers l'endroit où j'avais laissé mon cheval et avant qu'il n'ai pus protester je lui en procurait un également. Puis, après un court instant de réflexion, je me tournai vers lui:

-Peut-être veux-tu rester quelques temps dans le port? Je pensais t'emmener directemetn au Chateau, mais je te laisse le choix, bien évidemment. Pardonne-moi, je suis vraiment trop pressé, mais nous avaons de graves problèmes à Narnia, comme tu peux t'en douter, puisque tu es là. Enfin vous. puisque tes frère et soeurs sont là également.

je m'était encore une fois montré indigne d'un roi. Je ne pouvais évidemment que Donner le choix à Peter, il avait tout de même été Roi de Narnia avant moi, et je les avait appelé, lui et les autres Anciens Rois, afin de m'aider. Et comme Aslan ne se montrait pas, j'en avait conclu que je pouvais les appeler, eux, sachant que c'était tout de même grâce à eux que j'étais à présent Roi. j'attendanis à présent la réponse de Peter, sa réponse ou ses conseils. Il donnait de bons conseils, il réfléchissait comme le Roi qu'il avait été. Qu'il étéit encore aujourd'hui.

Je suivis Caspian vers des cheveaux, sans protester marchant à ça hauteur, ne sachant rien de l'endrois, qui n'éxistait pas la dernière fois que j'était venu, et que de toute manière, je n'avait pas eu le temps de visité. Puis alors que nous nous apprétion à prendre deux cheveaux, dont le sien, il eut un semlent de réflexion. Il m'avait directement amener ici. A peut de chose près cela aurait peut être de force. Mais à vrait dire, j'aurais fais comme lui, les paroles en premier. Je souris quand il m'apris que les autre était là aussi. J'avait hate de les revoir, même dans notre monde je ne les avait pas vu depuis un bon moment.

"Ne vous inquétez pas, j'ais eu ma dose de décoration marine pour un bout de temps. Tant d'heures de voyage en mer me suffit amplement. Passons aux chose sérieuse,..., Je suppose que c'est vous qui nous avez appeler. Pour ces troubles?, Des rumeurs parcourrait le navir, mais aucun ne s'avait exactement de quoi il s'agissait. Ils avaient juste peur d'embarquer de mauvaise personne à leur bord. Que ce passe t'il Pour que vous ayez besoin de notre aide?. Et puis j'ai hate de revoire mes soeurs et Edmound. Même dans notre monde je ne les ais pas vu depuis longtemps."

La facilité avec laquel je montais à cheval à cette instin me fit réaliser qu'il me manquait quelque chose. Ce n'était pas l'armire, ni la cote de maille. Puis la peur qui m'avait pris sur le navir à l'approche du Port me repris. Mes yeux ce portairent instinctivement sur l'épée de Caspiant dans un foureau noire et argent. C'était cela. qui me manquais. Je s'avait me battre sans arme, mais si il y avait des trouble à Narnia, peut importe leur intencitées. Etre soit même sans arme était déconcertaint, j'avait une soudaine impression d'impuissance, de faiblesse. Ma sécuritée reposait sur Caspian. Certe j'ais une entière confiance en lui mais l'épée d'Aslan, mon épée, que je lui avait confier avant de partit me manquait.
Je lutait contre le sentiments déplaisant d'inférioritée que j'avais si mal ressentit et supporter à Londre.

"Et puis vous avez mon épée. J'espère que vous en avez pris soin en mon absence."

Je souria pour ne pes montrer ma gêne. Je ne voulais pas que nos relations retourne à ce qu'elle avaient été au début. Deux rois riveau. Narnia avait beau être le monde de Caspian, je n'endemerais pas moins; le grand roi Peter. Aslan l'avait dit lui même; celui qui un jour est roi ou reine à Narnia le demeur à tout jamais.

"Allons retrouvez mes soeur et mon frère. Et raconter moi ce qui ce passe."

Comme je le pensais, Peter me dit qu'il ne voulait pas rester ici, ayant des questions sur les troubles règnants pour l'instant à Narnia. Il savait évidemment que lui et les trois autres n'étaient appelés ici que par période dangereuse, afin de nous aider à rétablir la paix. Mais c'était bien la première fois que les quatre enfants arrivaient séparément. A divers endroits du pays. Tout en me répondant, Peter prit le cheval que je lui avait préparé par la bride et monta dessus avace beaucoup plus da facilité. Il eut l'air de se demander pourquoi un instant avant de se rendre compte, semble-t-il, qu'il n'avait pas son épée. forcément, cette épée est dans mon coffre au chateau, protégée comme le trésor qu'elle est. Je l'avais promis à Peter lorsqu'il était parti, juste après mon couronnement. En me demandant qi j'avais pris soin de son bien, il eut un sourire géné. je savais qu'il ne voulait pas se montrer suspicieux, afin que nous ne retombions pas dans notre rivalité du début. Effectivement lorsque les quatre enfants étaiant venu m'aider à reprendre le trône qui me revenait de droit, Peter et moi avions créer un sorte d'inimitié, due au fait que nous étions tous les deux rois. A cette époque je ne voulais pas comprendre que Peter, Edmund, Susan et Lucy, s'ils avaient été rois et reines de Narnia, l'étaient encore à présent. mais cela, je l'avais accepté à présent et j'étais devenu bien plus humble. J'étais conscient qu'en ayant appelé les anciens rois et reines, je devais prendre sur moi et écouter leurs conseils. C'est aussi pour cela que je répondis ainsi à Peter.

-Je comprends. Partons donc pour le chateau. Oui Peter, je vous ai bien appelés. Comme je vous l'ai dit, nous ne sommes pas en période de paix à Narnia.

Tout en disant cela, je montais à mon tour sur mon cheval et le mis au pas. Nous commencerions la route vers le chateau à allure lente, afin que je puisse expliquer au Roi ce qu'il se passait et pourquoi j'avais besoin de son aide. Ensuite bous forcerions l'allure afin d'arriver au plus vite en sécurité. Et ainsi, Peter pourrait également retrouver son frère et ses soeurs.

-Grand Roi, bvotre épée est au Cahteau, protégée comme un trésor royal. je vous l'avait promis, non? Vous la récupérerez très vite. En attendant...

Tout en finnisant ma phrase je détachai l'épée de rechange qui était toujours sur ma selle et la tendis à Peter.

- Celle-ci n'est pas aussi bonne que la vôtre mais si nous sommes attaqués, nous ne serons pas trop de deux pour nous défendre.

je me mit ensuite à lui expliquer la situation à Narnia, les calormens aidé par des sorciers et voulant conquérir Narnia, les telmarins rebelles alliés aux calormens également, et enfin leur projet de réveiller jadis, la sorcière blanche, pour l'instant dans une sorte de coma profond mais pouvant s'éveiller d'un instant à l'autre. Et puis aussi, je lui parlai de l'absence d'Aslan, ce qui m'avait amené à souffler dans le trompe de Susan, afin de les appeler à l'aide. Je finis mon explication en remerciant Peter d'être là, que je lui faisait confiance pour le suite, pour m'aider à régler tout cela. Je voulais ainsi lui monter que notre rivalité n'étais plus de mise et que mon veaux le plus cher était que l'on puisse régler tout cela sans tensions entre nous.

"Merci Caspian"

Je pris l'épée de rechange de Caspian en le remercian d'un signe de tête. Puis je lacha les brides du cheval sans faire aucun geste bruste, afin de l'attacher à ma ceinture. Elle était moins lourde que celle d'Aslan, la mienne. Mais je n'étais plus ausi vulnérable qu'il y a quelque munute, et cela était plutôt agréable. Je l'écouta attentivement me raconter ce qui ce passait à Narnia. Décidément la paix ne pouvait jamais duré. C'était une bonne chose pour moi car cela m'avait permis de revenir ici, mais je n'était pas égoïste à ce point, je regrettait qu'elle n'est pas durer plus de cinq ans. La dernière fois nous avion le même âges. maintent Caspian était plus agée. Je ne put m'empêcher de me demander intérieurement si il utiliserait cette argument contre celui de Susan qui était; qu'elle à 13000 ans de plus que lui.

"S'était à prévoir. Aucun peuple, peut importe le monde, ne passe plusieurs siècles à croire qu'un autre est décimé et du jours au lendemain acsepte entièrement de vivre en paie avec lui. Certain on dut ressentire une impression d'invation. Les anciennes choses on du bon,..., sans vouloir me venter, je le jure!" Peter retint un rire, il imagina très bien Susan lui donnant un coup à l'épaule à cette intant pour le sous entendu flagrant qu'on pouvait y entendre "Je veux dire par là; chaqu'un chez soit,..., Caire Paravel. Ces terres appartiennent aux Narniens, par la grâce d'Aslan. Nul ne serait le contester, la cohabitation serait amoindrit. Vous aurez juste deux royaume à gouverner, bien que cette tâche soit très important et difficile. Endant que Seigneur de Caire Paravel je sais parfaitement que ce n'est pas une chose facile,..., C'est une idée comme les autres. Peut-être en aurons-nous d'autre une fois tous réunis.

Il me parla d'Aslan et mes points ce resérèrent sur les rênes de cuire de mon cheval quand il parla de Jadis. Ne pouvait-on pas définitivement être débarrasser d'elle?. Je ravala ma collère.

"Pour Aslan comme on le disait à mon époque, et comme Lucy vous le dirait elle même. Il ne vient que lorsque nous n'avont plus d'espoire. Et jamais de la même façon. Et il nous donne un coup de main, ou de pate. Il ne fait pas les chose à notre place Nous devons nous débrouiller par nous même. C'est pour cela que nous venons quand vous appeler. Nous sommes les renfort. Vous n'avez pas besoin de nous remercier. Etre à Narnia, peut importe la cituation est déjà un cadeau des plus beau."